Oh Lune, nocturne phtisique
Sur le noir oreiller des cieux
Ton immense regarde fiévreux
M'attire comme une musique!
Tu meurs d'un amour chimérique
Et d'un désir silencieux
Oh Lune, nocturne phtisique
Sur le noir oreiller des cieux!
Mais dans sa volupté physique
L'amant qui passe insoucieux
Prend pour des rayons gracieux
Ton sang blanc et mélancolique